Bienvenue sur le site de l'association Les Compagnons
Vous trouverez ci-dessous le projet associatif approuvé à l'unanimité lors du conseil
d'administration du 15 décembre 2014
d'administration du 15 décembre 2014
L'ASSOCIATION
Foucauld mis à disposition de la ville de Bayeux. Les jeunes adultes sont logés aux foyers des jeunes travailleurs et travailleuses de Bayeux, où est également louée une salle pour un atelier du CAT.
Suite à la progression des effectifs, le CAT s’installe en 1977 sur la zone industrielle et un foyer d’hébergement voit le jour, chemin des Marettes. En 1978, c’est un foyer d’hébergement pour 10 jeunes filles qui est ouvert dans les locaux de l’ancien CAT rue Charles de Foucauld. Située à proximité du centre-ville, cette structure favorise une ouverture sur la vie sociale locale. C’est une structure familiale où les jeunes participent aux tâches quotidiennes avec l’aide des éducateurs.
Dès 1969, l’association est reconnue gérante de tutelles. A partir de 1976 les juges confient de plus en plus de dossiers à gérer. Aussi, en 1978 un éducateur et une secrétaire du C.A.T. y travaillent pratiquement à temps complet, non sans occasionner une certaine gêne dans la structure. En l’absence d’association tutélaire dans le Bessin et confrontés à plusieurs dossiers d’attente, plusieurs associations (Foyers de Cluny, l’ADAPT, Les Compagnons et l’ACSEA) participent à la création de l’association tutélaire du Bessin. Jean-Pierre SAVARY, à l’époque éducateur de suite au CAT en est le premier salarié. L’ATB devient l’ATC (Association Tutélaire Calvadosienne) en 1986.
L’association est également partie prenante dans les différentes démarches effectuées pour l’ouverture d’une Maison d’Accueil Spécialisée (M.A.S.) avec les associations de la « Sauvegarde de l’Enfance » de Caen et les foyers de Cluny. A cette époque, le C.A.T. compte, parmi les personnes accueillies, 12 jeunes adultes relevant d’une telle structure. Après 3 ans de recherches et de démarches, la M.A.S. d’Ellon ouvre enfin ses portes le 1er septembre 1982.
En 1981 est créé un foyer mixte de 15 places dans le château Bellefontaine. Après l’achat d’une maison avenue Raymond Triboulet (route de Cherbourg), l’association met fin au bail du foyer Bellefontaine. Le foyer des Sablons ouvre et devient la propriété de l’association en 1991.
L’actuel Service d’Aide à la Vie Sociale émane de la création du Service d’Aide à l’Insertion Sociale en 1990. L’équipe éducative de cette structure prend en charge les adultes désirant franchir une étape supplémentaire vers l’autonomie, déjà enclenchée à l’intérieur des structures d’hébergement.
Cependant, elle est destinée aux adultes vivant en ville (studios, appartements), aux travailleurs du C.A.T en instance de stage en entreprise. L’objectif du service est d’aider les personnes dans la recherche de logements, l’organisation de leur vie quotidienne.
Le 15 juin 1992, l’association change de nom pour s’appeler « Les Compagnons ».
En 1994, l’association poursuit son développement avec la création du foyer «Les Mallières » conçu pour 16 adultes.
Originellement, les C.A.T. étaient des structures où le travail était essentiellement un outil d’insertion supplémentaire. Suite à la circulaire du 30 juin 1975 et la circulaire 60 AS du 8 décembre 1978 relative au CAT , des adultes accueillis pratiquement depuis l’ouverture ne pouvaient faire face à cette obligation. Il a donc été décidé, en 1994, de créer une structure appelée F.I.T. (Foyer d’Insertion et de Transition) ; la transition s’organisant entre les structures C.A.T./F.I.T./FOYERS.
En 1995, le regroupement des services administratifs des différentes structures se réalise dans le pavillon jouxtant le CAT, rue de la Résistance à Bayeux. En 1996, c’est l’ouverture des « foyers éclatés » rue Nesmond et rue Laitière pour accueillir 21 adultes. En 2003, l’association acquiert un immeuble 18 rue du Général de Dais, destiné à la création de 9 appartements pour héberger les résidants du SAIS et de bureaux.
L’année 2006 marque l’inauguration de la structure SAIS baptisée « Résidence Juliette BREARD », en l’honneur de la Présidente fondatrice de l’association. Le Foyer Occupationnel pour Adultes est créé en 2010 avec progressivement, la construction d’une nouvelle structure d’hébergement et la transformation du foyer Les Mallières, pour les activités de jour.
En 2013, le foyer éclaté est en partie transféré pour des raisons de sécurité, Avenue Clémenceau à Bayeux.
Le 20 décembre 2013, l’association a fêté ses 50 ans.
Suite à la progression des effectifs, le CAT s’installe en 1977 sur la zone industrielle et un foyer d’hébergement voit le jour, chemin des Marettes. En 1978, c’est un foyer d’hébergement pour 10 jeunes filles qui est ouvert dans les locaux de l’ancien CAT rue Charles de Foucauld. Située à proximité du centre-ville, cette structure favorise une ouverture sur la vie sociale locale. C’est une structure familiale où les jeunes participent aux tâches quotidiennes avec l’aide des éducateurs.
Dès 1969, l’association est reconnue gérante de tutelles. A partir de 1976 les juges confient de plus en plus de dossiers à gérer. Aussi, en 1978 un éducateur et une secrétaire du C.A.T. y travaillent pratiquement à temps complet, non sans occasionner une certaine gêne dans la structure. En l’absence d’association tutélaire dans le Bessin et confrontés à plusieurs dossiers d’attente, plusieurs associations (Foyers de Cluny, l’ADAPT, Les Compagnons et l’ACSEA) participent à la création de l’association tutélaire du Bessin. Jean-Pierre SAVARY, à l’époque éducateur de suite au CAT en est le premier salarié. L’ATB devient l’ATC (Association Tutélaire Calvadosienne) en 1986.
L’association est également partie prenante dans les différentes démarches effectuées pour l’ouverture d’une Maison d’Accueil Spécialisée (M.A.S.) avec les associations de la « Sauvegarde de l’Enfance » de Caen et les foyers de Cluny. A cette époque, le C.A.T. compte, parmi les personnes accueillies, 12 jeunes adultes relevant d’une telle structure. Après 3 ans de recherches et de démarches, la M.A.S. d’Ellon ouvre enfin ses portes le 1er septembre 1982.
En 1981 est créé un foyer mixte de 15 places dans le château Bellefontaine. Après l’achat d’une maison avenue Raymond Triboulet (route de Cherbourg), l’association met fin au bail du foyer Bellefontaine. Le foyer des Sablons ouvre et devient la propriété de l’association en 1991.
L’actuel Service d’Aide à la Vie Sociale émane de la création du Service d’Aide à l’Insertion Sociale en 1990. L’équipe éducative de cette structure prend en charge les adultes désirant franchir une étape supplémentaire vers l’autonomie, déjà enclenchée à l’intérieur des structures d’hébergement.
Cependant, elle est destinée aux adultes vivant en ville (studios, appartements), aux travailleurs du C.A.T en instance de stage en entreprise. L’objectif du service est d’aider les personnes dans la recherche de logements, l’organisation de leur vie quotidienne.
Le 15 juin 1992, l’association change de nom pour s’appeler « Les Compagnons ».
En 1994, l’association poursuit son développement avec la création du foyer «Les Mallières » conçu pour 16 adultes.
Originellement, les C.A.T. étaient des structures où le travail était essentiellement un outil d’insertion supplémentaire. Suite à la circulaire du 30 juin 1975 et la circulaire 60 AS du 8 décembre 1978 relative au CAT , des adultes accueillis pratiquement depuis l’ouverture ne pouvaient faire face à cette obligation. Il a donc été décidé, en 1994, de créer une structure appelée F.I.T. (Foyer d’Insertion et de Transition) ; la transition s’organisant entre les structures C.A.T./F.I.T./FOYERS.
En 1995, le regroupement des services administratifs des différentes structures se réalise dans le pavillon jouxtant le CAT, rue de la Résistance à Bayeux. En 1996, c’est l’ouverture des « foyers éclatés » rue Nesmond et rue Laitière pour accueillir 21 adultes. En 2003, l’association acquiert un immeuble 18 rue du Général de Dais, destiné à la création de 9 appartements pour héberger les résidants du SAIS et de bureaux.
L’année 2006 marque l’inauguration de la structure SAIS baptisée « Résidence Juliette BREARD », en l’honneur de la Présidente fondatrice de l’association. Le Foyer Occupationnel pour Adultes est créé en 2010 avec progressivement, la construction d’une nouvelle structure d’hébergement et la transformation du foyer Les Mallières, pour les activités de jour.
En 2013, le foyer éclaté est en partie transféré pour des raisons de sécurité, Avenue Clémenceau à Bayeux.
Le 20 décembre 2013, l’association a fêté ses 50 ans.
L’association Les Compagnons est une association militante dont l’engagement en faveur des adultes en situation de handicap se réalise au travers de valeurs humanistes, portées par les administrateurs bénévoles et par ses salariés.
Notre projet associatif est fondé sur les valeurs suivantes :
Veiller au respect des usagers, à leur intégrité et à leur bien-être
L’association rappelle le caractère fondamental du respect de la dignité et de l’intégrité de la personne, et veille au respect de l’intimité de chacun. Elle reconnaît chaque personne dans son identité, son handicap, son histoire, ses valeurs et ses potentiels.
L’association est attachée à des valeurs d’écoute et de bienveillance auprès des personnes accueillies.
Elle œuvre à valoriser leur valeurs de partage et de joie de vivre, leur créativité, leurs talents artistiques, sportifs….
Promouvoir l’autonomie et le développement des personnes
L’association promeut l’accès des usagers à un espace de liberté propice à leur épanouissement et au développement de leurs compétences, dans un espace sécurisé et après expertise des professionnels.
Ainsi elle veille à reconnaitre les usagers comme étant acteurs de leur projet, en tenant compte de leurs désirs et aussi des limites liées à leur handicap, et à mettre en œuvre les moyens d’accéder à leur projet de vie.
Elle favorise leur autonomie en prenant en compte leurs attentes, leurs besoins, en les valorisant et en favorisant leur reconnaissance professionnelle et sociale.
Il s’agit d’instaurer une relation avec chaque personne telle qu’elle est, qui prenne en compte ses compétences, ses capacités et ses doutes, afin de lui proposer des réponses personnalisées et intégrées dans le projet élaboré avec elle.
Favoriser l’ouverture sur l’extérieur
L’association recherche l’intégration des usagers dans la cité.
Elle aspire à les voir vivre et évoluer avec leurs différences dans l’environnement.
Cette recherche d’intégration est soutenue par une volonté constante pour l’association de tisser des liens avec ses partenaires économiques, sociaux, institutionnels, culturels...
L’association veille à l’exercice des droits et des devoirs de citoyen de chacun. Elle développe les formes de convivialité, de réciprocité autour d’une communauté d’intérêt, d’une qualité du « vivre ensemble ».
Accompagner les salariés dans le développement de la qualité de service
La recherche de la qualité du service rendu à l’usager est un facteur de cohésion au sein de l’association. Elle implique de s’interroger, en toute circonstance, sur le sens et le bienfondé de son action par rapport aux besoins de la personne.
La promotion d’une qualité de service implique aussi la mise en place de pratiques d’écoute, de respect des salariés, de soutien des professionnels en termes de formation, de professionnalisation mais aussi d’exigences de chacun pour l’atteinte des objectifs et des missions qui le concerne, en fonction de ses propres responsabilités.
L’association « Les Compagnons » a vocation à accompagner des adultes de plus de 20 ans en situation de handicap et bénéficiant d’une orientation délivrée par la Maison Départementale pour les Personnes Handicapées (MDPH).
Elle accompagne 140 adultes en situation de handicap mental et psychique, emploie 70 salariés et gère à ce jour 7 établissements et services.
Chaque entité fera l’objet d’un projet de service détaillant son accompagnement.
L’Etablissement et Service d’Aide par le Travail (ESAT)
L’ESAT se situe sur la Zone Industrielle, 14 Rue de la Résistance à Bayeux (1200 m² d’ateliers).
Aujourd’hui agréé pour 90 places, l’E.S.A.T. fonctionne du lundi au jeudi de 8 h 30 à 16 h 30, et de 8h30 à 15h45 le vendredi, avec restauration sur place.
Les différentes activités proposées sont :
• les espaces verts (création et entretien en entreprise ou chez les particuliers)
• la menuiserie (principalement fabrication de palettes, caisses et containers, découpe et marquage de bâches …)
• la buanderie/lingerie (couture, lavage et repassage du linge de collectivités, centres de vacances, chambres d’hôtes, particuliers)
• le conditionnement (manuel et sous film thermo-rétractable d’articles de papèterie)
• la mise à disposition d’équipe dans les entreprises pour travaux divers (archivage et classement, contrôles sur bancs de test, travail sur poste technique …)
• travaux extérieurs (entretien de parking de surfaces commerciales, installation et/ou nettoyage de boites aux lettres, entretien de mobilhome …)
L’Atelier d’Insertion et de Transition (AIT)
L’AIT est agréé pour 25 places. Il est ouvert de 8h30 à 16h30 du lundi au jeudi, et de 8h30 à 15h45 le vendredi.
Ce service est un lieu d’évaluation et d’orientation, qui propose un accompagnement individualisé permettant de situer l’usager dans son parcours de vie.
L’accompagnement éducatif est organisé sur deux sites :
• Un atelier semi-professionnel, intégré à l'ESAT, mais proposant des activités de production individualisées et adaptées.
• Un lieu d’accueil situé 24 route de Tilly, et proposant des activités de soutien et de socialisation, telles que : activités manuelles, jardinage, sorties pédagogiques, expression corporelle et relaxation, cuisine…
Les foyers d’hébergement
Le foyer Charles de Foucauld se situe à proximité du centre-ville. L’hébergement est constitué d’une grande maison de trois niveaux entourée d’un jardin fleuri et arboré.
Le foyer Les Sablons, situé en périphérie de la ville de Bayeux, est constitué d’une grande maison sur 3 niveaux et d’une annexe, entouré d’espaces verts.
Chaque résidant dispose d’une chambre individuelle et personnalisée.
Chaque foyer reçoit 13 personnes qui, en journée, sont à l’ESAT ou à l’AIT.
Le but des équipes éducatives est de concilier le bien-être des personnes accueillies avec les règles de la vie collective et en société.
Ces équipes accompagnent les adultes dans tous les aspects de la vie quotidienne (hygiène corporelle et matérielle, repas, loisirs, gestion de leur budget, achats, etc…) et dans la relation avec leur famille. Chaque usager peut bénéficier d’un suivi médical.
Des surveillants de nuit assurent une présence rassurante et sécurisante auprès des personnes hébergées.
Le foyer Eclaté (FE)
Il est agréé pour 20 personnes, présentant un niveau d’autonomie suffisant pour occuper un logement individuel.
Le foyer éclaté permet à des adultes soit de se diriger vers un service tendant à encore plus d’autonomie (SAVS), soit vers le maintien de leurs acquis, soit vers un accompagnement en foyer d’hébergement ou maison de retraite.
Il dispose d’appartements individuels ou collectifs, dispersés dans le centre de Bayeux. Les bureaux sont situés 10 avenue Georges Clémenceau à Bayeux.
Les usagers sont accompagnés 7 jours sur 7 (sans surveillance la nuit) dans toutes les démarches de la vie : administratives, médicales, familiales, financières…
Le Service d’Accompagnement à la Vie Sociale (SAVS)
Il accompagne 32 adultes, en activité ou en retraite, occupant leur propre logement.
Le service aide la personne à développer des compétences pour lui permettre de vivre de manière la plus autonome possible dans son logement et son environnement, et à préserver ses acquis pour favoriser son maintien à domicile.
Il est ouvert du lundi au samedi, en journée ; l’accueil se fait au bureau du SAVS situé Résidence Juliette Bréard, 18 rue du Général De Dais à Bayeux. Les visites s’effectuent soit au service soit au domicile de l’adulte.
Le foyer Occupationnel pour Adultes (FOA)
Il est agréé pour 16 places de jour et de nuit.
L’accueil de jour est ouvert de 9h à 16h30 du lundi au jeudi, et de 8h30 à 15h45 le vendredi. Il propose différents types d’atelier :
• Activités de création (poterie, mosaïque, peinture…)
• Activités de bien-être (relaxation, soins du visage, bains à remous…)
• Activités de maintien des acquis (jeux de société, lecture, calcul…)
• Activités sportives (piscine, équitation, marche…)
• Activités musicales (percussions…)
Sur la partie hébergement, les chambres sont individuelles et disposent d’une salle de bain. L’équipe éducative propose :
• Un accompagnement des personnes dans les actes de la vie quotidienne
• Des activités de socialisation
• Un suivi médical
Le lieu de vie fonctionne tout au long de l’année. Des surveillants de nuit assurent une présence rassurante et sécurisante auprès des personnes hébergées.
L’ESAT se situe sur la Zone Industrielle, 14 Rue de la Résistance à Bayeux (1200 m² d’ateliers).
Aujourd’hui agréé pour 90 places, l’E.S.A.T. fonctionne du lundi au jeudi de 8 h 30 à 16 h 30, et de 8h30 à 15h45 le vendredi, avec restauration sur place.
Les différentes activités proposées sont :
• les espaces verts (création et entretien en entreprise ou chez les particuliers)
• la menuiserie (principalement fabrication de palettes, caisses et containers, découpe et marquage de bâches …)
• la buanderie/lingerie (couture, lavage et repassage du linge de collectivités, centres de vacances, chambres d’hôtes, particuliers)
• le conditionnement (manuel et sous film thermo-rétractable d’articles de papèterie)
• la mise à disposition d’équipe dans les entreprises pour travaux divers (archivage et classement, contrôles sur bancs de test, travail sur poste technique …)
• travaux extérieurs (entretien de parking de surfaces commerciales, installation et/ou nettoyage de boites aux lettres, entretien de mobilhome …)
L’Atelier d’Insertion et de Transition (AIT)
L’AIT est agréé pour 25 places. Il est ouvert de 8h30 à 16h30 du lundi au jeudi, et de 8h30 à 15h45 le vendredi.
Ce service est un lieu d’évaluation et d’orientation, qui propose un accompagnement individualisé permettant de situer l’usager dans son parcours de vie.
L’accompagnement éducatif est organisé sur deux sites :
• Un atelier semi-professionnel, intégré à l'ESAT, mais proposant des activités de production individualisées et adaptées.
• Un lieu d’accueil situé 24 route de Tilly, et proposant des activités de soutien et de socialisation, telles que : activités manuelles, jardinage, sorties pédagogiques, expression corporelle et relaxation, cuisine…
Les foyers d’hébergement
Le foyer Charles de Foucauld se situe à proximité du centre-ville. L’hébergement est constitué d’une grande maison de trois niveaux entourée d’un jardin fleuri et arboré.
Le foyer Les Sablons, situé en périphérie de la ville de Bayeux, est constitué d’une grande maison sur 3 niveaux et d’une annexe, entouré d’espaces verts.
Chaque résidant dispose d’une chambre individuelle et personnalisée.
Chaque foyer reçoit 13 personnes qui, en journée, sont à l’ESAT ou à l’AIT.
Le but des équipes éducatives est de concilier le bien-être des personnes accueillies avec les règles de la vie collective et en société.
Ces équipes accompagnent les adultes dans tous les aspects de la vie quotidienne (hygiène corporelle et matérielle, repas, loisirs, gestion de leur budget, achats, etc…) et dans la relation avec leur famille. Chaque usager peut bénéficier d’un suivi médical.
Des surveillants de nuit assurent une présence rassurante et sécurisante auprès des personnes hébergées.
Le foyer Eclaté (FE)
Il est agréé pour 20 personnes, présentant un niveau d’autonomie suffisant pour occuper un logement individuel.
Le foyer éclaté permet à des adultes soit de se diriger vers un service tendant à encore plus d’autonomie (SAVS), soit vers le maintien de leurs acquis, soit vers un accompagnement en foyer d’hébergement ou maison de retraite.
Il dispose d’appartements individuels ou collectifs, dispersés dans le centre de Bayeux. Les bureaux sont situés 10 avenue Georges Clémenceau à Bayeux.
Les usagers sont accompagnés 7 jours sur 7 (sans surveillance la nuit) dans toutes les démarches de la vie : administratives, médicales, familiales, financières…
Le Service d’Accompagnement à la Vie Sociale (SAVS)
Il accompagne 32 adultes, en activité ou en retraite, occupant leur propre logement.
Le service aide la personne à développer des compétences pour lui permettre de vivre de manière la plus autonome possible dans son logement et son environnement, et à préserver ses acquis pour favoriser son maintien à domicile.
Il est ouvert du lundi au samedi, en journée ; l’accueil se fait au bureau du SAVS situé Résidence Juliette Bréard, 18 rue du Général De Dais à Bayeux. Les visites s’effectuent soit au service soit au domicile de l’adulte.
Le foyer Occupationnel pour Adultes (FOA)
Il est agréé pour 16 places de jour et de nuit.
L’accueil de jour est ouvert de 9h à 16h30 du lundi au jeudi, et de 8h30 à 15h45 le vendredi. Il propose différents types d’atelier :
• Activités de création (poterie, mosaïque, peinture…)
• Activités de bien-être (relaxation, soins du visage, bains à remous…)
• Activités de maintien des acquis (jeux de société, lecture, calcul…)
• Activités sportives (piscine, équitation, marche…)
• Activités musicales (percussions…)
Sur la partie hébergement, les chambres sont individuelles et disposent d’une salle de bain. L’équipe éducative propose :
• Un accompagnement des personnes dans les actes de la vie quotidienne
• Des activités de socialisation
• Un suivi médical
Le lieu de vie fonctionne tout au long de l’année. Des surveillants de nuit assurent une présence rassurante et sécurisante auprès des personnes hébergées.
L’Association Les Compagnons, consciente de l’évolution du contexte politique qui l’entoure, et de l’évolution des besoins de ses usagers, identifie 5 enjeux majeurs autour desquels doit se décliner sa vision prospective et stratégique :
• Promouvoir la place, la parole et les compétences des personnes handicapées
• Poursuivre et développer l’ouverture de l’association à l’environnement local et partenarial
• Mieux prendre en compte la problématique du vieillissement de la population
• Poursuivre la professionnalisation des salariés
• Réaliser un travail sur la gouvernance associative
Promouvoir la place, la parole et les compétences des personnes handicapées
En référence à la philosophie de la loi du 2 janvier 2002, l’association rappelle l’importance de son action pour mieux prendre en compte la dignité, la parole et les compétences des personnes accueillies.
L’association s’engage à accompagner les personnes dans une recherche de leur autonomie, de leur bien-être et de leur épanouissement. Elle met en place des pratiques d’accompagnement individualisé et de qualité qui prennent en compte les besoins spécifiques de la personne, en s’appuyant sur un certain nombre de dispositifs, d’espaces de travail et de moyens existants : réunions de projets individualisés, “Différents et Compétents”, CVS…
Aussi, le projet associatif doit permettre de réaffirmer les valeurs et de définir les orientations concrètes que l’association souhaite se donner en matière de promotion de la place des usagers, de leur intégrité et de leur bien-être.
Poursuivre et développer l’ouverture de l’association à l’environnement local et partenarial
Pour promouvoir le développement de l’association, l’adaptation et la diversification des prestations proposées aux usagers, un des enjeux importants est de créer des partenariats avec d’autres services du secteur médico-social, du milieu médical, sportif, culturel…
Un des effets attendus de l’élargissement du réseau de partenaires, est de faciliter et diversifier l’accès des résidants et des travailleurs handicapés à des activités sportives, culturelles et de loisirs. L’écriture du projet associatif doit être l’occasion de réfléchir aux orientations en matière d’ouverture sur les activités de loisirs extérieures, d’intégration dans la vie sociale locale et de nouveaux services à proposer aux habitants (projet blanchisserie de l’ESAT…).
Mieux prendre en compte la problématique du vieillissement de la population
L’avancée en âge des résidants et des travailleurs pose la question de la manière dont l’association gère et accompagne la transition qui nécessite, soit une réorientation soit une adaptation de la prise en charge en interne. Cette période de transition pose une vraie question sur la manière dont l’établissement aide la personne à se projeter, à mettre en œuvre une solution adaptée, à vivre le plus sereinement possible ce changement.
L’évolution dans l’âge est souvent synonyme de solitude des usagers voire d’isolement social et familial. Le vieillissement qui concerne aussi l’entourage fait que l’aide familiale peut s’avérer difficile voire impossible, notamment pour ceux qui vivent à leur domicile ou pour ceux qui sont hébergés et qui souhaitent y retourner le week-end ou pendant leurs vacances. Un maintien de leurs liens sociaux doit être recherché et accompagné, notamment en facilitant leur participation aux activités locales.
Une des questions à travailler lors de l’écriture du projet associatif est celle des évolutions de pratiques, de prestations et de fonctionnement à entrevoir avec le vieillissement de la population. Pour les travailleurs de l’ESAT, se pose la question de l’anticipation d’un projet de cessation d’activité, des passerelles à développer avec d’autres services (AIT, FOA, EHPAD, familles d’accueil…).
Une réflexion porte sur une adaptation possible des emplois du temps des adultes et de la nature des prestations qui leur sont proposées.
Une autre orientation stratégique à débattre est celle du développement de formes de partenariat avec d’autres établissements médico-sociaux spécialisés dans l’accueil de personnes handicapées vieillissantes (FOA adultes handicapés vieillissant, EHPAD avec unités spécifiques, familles d’accueil…).
Poursuivre la professionnalisation des salariés
L’Association est consciente que la dimension éducative de la prise en charge des usagers nécessite une professionnalisation des équipes.
Soucieuse d’apporter un accompagnement adapté et bienveillant aux personnes en situation de handicap, et de permettre à ses salariés de compléter leurs connaissances face aux nouveaux besoins du public accueilli, l’Association affirme sa volonté de promouvoir la qualification, tant au niveau du recrutement que de la formation continue.
Réaliser un travail sur la gouvernance associative
Face à un environnement institutionnel et politique en évolution, la gouvernance de l’Association nécessite une spécialisation et des compétences accrues ainsi qu’une motivation et une implication forte de ses membres. Dès lors une réflexion sur l’organisation de la dynamique associative doit s’engager : composition du Conseil d’Administration, modalités de travail et de communication, délégations.
• Promouvoir la place, la parole et les compétences des personnes handicapées
• Poursuivre et développer l’ouverture de l’association à l’environnement local et partenarial
• Mieux prendre en compte la problématique du vieillissement de la population
• Poursuivre la professionnalisation des salariés
• Réaliser un travail sur la gouvernance associative
Promouvoir la place, la parole et les compétences des personnes handicapées
En référence à la philosophie de la loi du 2 janvier 2002, l’association rappelle l’importance de son action pour mieux prendre en compte la dignité, la parole et les compétences des personnes accueillies.
L’association s’engage à accompagner les personnes dans une recherche de leur autonomie, de leur bien-être et de leur épanouissement. Elle met en place des pratiques d’accompagnement individualisé et de qualité qui prennent en compte les besoins spécifiques de la personne, en s’appuyant sur un certain nombre de dispositifs, d’espaces de travail et de moyens existants : réunions de projets individualisés, “Différents et Compétents”, CVS…
Aussi, le projet associatif doit permettre de réaffirmer les valeurs et de définir les orientations concrètes que l’association souhaite se donner en matière de promotion de la place des usagers, de leur intégrité et de leur bien-être.
Poursuivre et développer l’ouverture de l’association à l’environnement local et partenarial
Pour promouvoir le développement de l’association, l’adaptation et la diversification des prestations proposées aux usagers, un des enjeux importants est de créer des partenariats avec d’autres services du secteur médico-social, du milieu médical, sportif, culturel…
Un des effets attendus de l’élargissement du réseau de partenaires, est de faciliter et diversifier l’accès des résidants et des travailleurs handicapés à des activités sportives, culturelles et de loisirs. L’écriture du projet associatif doit être l’occasion de réfléchir aux orientations en matière d’ouverture sur les activités de loisirs extérieures, d’intégration dans la vie sociale locale et de nouveaux services à proposer aux habitants (projet blanchisserie de l’ESAT…).
Mieux prendre en compte la problématique du vieillissement de la population
L’avancée en âge des résidants et des travailleurs pose la question de la manière dont l’association gère et accompagne la transition qui nécessite, soit une réorientation soit une adaptation de la prise en charge en interne. Cette période de transition pose une vraie question sur la manière dont l’établissement aide la personne à se projeter, à mettre en œuvre une solution adaptée, à vivre le plus sereinement possible ce changement.
L’évolution dans l’âge est souvent synonyme de solitude des usagers voire d’isolement social et familial. Le vieillissement qui concerne aussi l’entourage fait que l’aide familiale peut s’avérer difficile voire impossible, notamment pour ceux qui vivent à leur domicile ou pour ceux qui sont hébergés et qui souhaitent y retourner le week-end ou pendant leurs vacances. Un maintien de leurs liens sociaux doit être recherché et accompagné, notamment en facilitant leur participation aux activités locales.
Une des questions à travailler lors de l’écriture du projet associatif est celle des évolutions de pratiques, de prestations et de fonctionnement à entrevoir avec le vieillissement de la population. Pour les travailleurs de l’ESAT, se pose la question de l’anticipation d’un projet de cessation d’activité, des passerelles à développer avec d’autres services (AIT, FOA, EHPAD, familles d’accueil…).
Une réflexion porte sur une adaptation possible des emplois du temps des adultes et de la nature des prestations qui leur sont proposées.
Une autre orientation stratégique à débattre est celle du développement de formes de partenariat avec d’autres établissements médico-sociaux spécialisés dans l’accueil de personnes handicapées vieillissantes (FOA adultes handicapés vieillissant, EHPAD avec unités spécifiques, familles d’accueil…).
Poursuivre la professionnalisation des salariés
L’Association est consciente que la dimension éducative de la prise en charge des usagers nécessite une professionnalisation des équipes.
Soucieuse d’apporter un accompagnement adapté et bienveillant aux personnes en situation de handicap, et de permettre à ses salariés de compléter leurs connaissances face aux nouveaux besoins du public accueilli, l’Association affirme sa volonté de promouvoir la qualification, tant au niveau du recrutement que de la formation continue.
Réaliser un travail sur la gouvernance associative
Face à un environnement institutionnel et politique en évolution, la gouvernance de l’Association nécessite une spécialisation et des compétences accrues ainsi qu’une motivation et une implication forte de ses membres. Dès lors une réflexion sur l’organisation de la dynamique associative doit s’engager : composition du Conseil d’Administration, modalités de travail et de communication, délégations.
Mise en place de Conseils de la Vie Sociale (CVS)
Cette instance a vocation à favoriser la participation et l’expression des usagers au sein de l’association, ainsi que celles de leur famille et tuteurs.
Le Conseil de la vie sociale formule des avis et propositions sur toute question relative au fonctionnement de l’établissement, son organisation interne, la vie quotidienne, les activités, l’animation socio-culturelle, les services thérapeutiques, et les projets de travaux et d’équipements. Il est également consulté sur des modifications qui seraient apportées au règlement de fonctionnement et au projet d’établissement ou de service.
En s’assurant que de tels conseils se structurent et vivent au sein de ses différents établissements, l’association garantit à ses usagers l’existence d’espaces où la parole peut circuler et être actée.
Adhésion au dispositif « Différents et compétents
L’association revendique la reconnaissance des compétences, de la motivation et des potentiels des adultes qu’elle accompagne, parce qu’elle croit en leur savoir-être, mais aussi leur savoir-faire. Aussi a-t-elle fait le choix d’adhérer au réseau « Différents et compétents ».
L’adhésion engage l’association à poursuivre un processus de formation et d’engagement des équipes permettant l’accès des personnes accompagnées à une certification de leurs compétences professionnelles. Celle-ci est délivrée par l’Education Nationale ou le Ministère de l’Agriculture.
Le réseau « Différents et compétents » œuvre à développer la reconnaissance de compétences des personnes en situation de handicap travaillant en Etablissements et Services d'Aides par le Travail (ESAT), Entreprises Adaptées (EA), institut médico-éducatif (IME), voir en Insertion par l’Activité Economique (IAE), et à rendre les organisations du travail et les environnements plus apprenants, grâce à la remise en question des organisations de production pour les rendre sources d'apprentissage.
Inscription dans des cycles de formation permettant l’acquisition de nouvelles connaissances personnelles et professionnelles
Ces formations contribuent à développer l’épanouissement personnel et l’autonomisation des personnes, en se basant sur le plaisir d’apprendre. C’est en cela qu’il s’inscrit dans les objectifs que s’est fixée l’association dans l’accompagnement qu’elle propose à ses usagers.
Elle souscrit à l’idée que l’acquisition de connaissances et l’amélioration de l’aisance dans le travail et dans la vie quotidienne sont obtenus par l’émergence d’envies : l’envie chez l’adulte accompagné de progresser, de développer ses savoirs.
Dans la continuité des premières actions de formation mises en place, l’association souhaite les élargir à d’autres usagers de l’association et à d’autres types de compétences.
Lancement d’une réflexion sur les instances de paroles proposées aux usagers
L’idée a émergé entre Direction et Conseil d’Administration qu’une réflexion soit menée de concert avec les équipes de terrain pour faire un état des lieux de l’existant et des besoins, ainsi que d’évaluer si les espaces et moments d’échange et d’expression sont satisfaisants pour le public accueilli et sa famille. Il conviendra d’apprécier :
• si ces instances sont en nombre suffisant et sur les thèmes souhaités,
• si elles se déroulent à des heures et en des lieux propices
• si elles sont suffisamment planifiées et formalisées pour permettre que les adultes les repèrent,
• si la forme qu’elles prennent, en collectif comme en individuel, sont de nature à favoriser la parole de chacun
L’évocation de ces questions avec tous les professionnels de l’association permettra de consolider une culture commune de l’écoute auprès des usagers et de concevoir de nouveaux modes d’échange à mettre en place avec ces derniers.
Une gestion des ressources humaines favorisant les postures professionnelles d’attention et d’écoute
Une invariabilité et trop grande durée de l’accompagnement d’un usager pourrait être source tant d’une stimulation moindre pour la personne accompagnée, que d’une usure pour le professionnel pouvant se traduire par un déficit d’écoute, une moins grande réceptivité aux signes manifestés par l’adulte handicapé.
Afin de maintenir en éveil l’attention du professionnel et de favoriser son écoute, l’association met en œuvre les conditions d’une mobilité de ses salariés, lorsqu’elle permet la dynamique des services, dans le respect des ancrages affectifs de l’usager.
Dans ce même objectif de soutenir le professionnel dans sa vigilance au quotidien, l’association favorise l’accueil de stagiaires au sein des équipes (cf. enjeu 2).
Cette instance a vocation à favoriser la participation et l’expression des usagers au sein de l’association, ainsi que celles de leur famille et tuteurs.
Le Conseil de la vie sociale formule des avis et propositions sur toute question relative au fonctionnement de l’établissement, son organisation interne, la vie quotidienne, les activités, l’animation socio-culturelle, les services thérapeutiques, et les projets de travaux et d’équipements. Il est également consulté sur des modifications qui seraient apportées au règlement de fonctionnement et au projet d’établissement ou de service.
En s’assurant que de tels conseils se structurent et vivent au sein de ses différents établissements, l’association garantit à ses usagers l’existence d’espaces où la parole peut circuler et être actée.
Adhésion au dispositif « Différents et compétents
L’association revendique la reconnaissance des compétences, de la motivation et des potentiels des adultes qu’elle accompagne, parce qu’elle croit en leur savoir-être, mais aussi leur savoir-faire. Aussi a-t-elle fait le choix d’adhérer au réseau « Différents et compétents ».
L’adhésion engage l’association à poursuivre un processus de formation et d’engagement des équipes permettant l’accès des personnes accompagnées à une certification de leurs compétences professionnelles. Celle-ci est délivrée par l’Education Nationale ou le Ministère de l’Agriculture.
Le réseau « Différents et compétents » œuvre à développer la reconnaissance de compétences des personnes en situation de handicap travaillant en Etablissements et Services d'Aides par le Travail (ESAT), Entreprises Adaptées (EA), institut médico-éducatif (IME), voir en Insertion par l’Activité Economique (IAE), et à rendre les organisations du travail et les environnements plus apprenants, grâce à la remise en question des organisations de production pour les rendre sources d'apprentissage.
Inscription dans des cycles de formation permettant l’acquisition de nouvelles connaissances personnelles et professionnelles
Ces formations contribuent à développer l’épanouissement personnel et l’autonomisation des personnes, en se basant sur le plaisir d’apprendre. C’est en cela qu’il s’inscrit dans les objectifs que s’est fixée l’association dans l’accompagnement qu’elle propose à ses usagers.
Elle souscrit à l’idée que l’acquisition de connaissances et l’amélioration de l’aisance dans le travail et dans la vie quotidienne sont obtenus par l’émergence d’envies : l’envie chez l’adulte accompagné de progresser, de développer ses savoirs.
Dans la continuité des premières actions de formation mises en place, l’association souhaite les élargir à d’autres usagers de l’association et à d’autres types de compétences.
Lancement d’une réflexion sur les instances de paroles proposées aux usagers
L’idée a émergé entre Direction et Conseil d’Administration qu’une réflexion soit menée de concert avec les équipes de terrain pour faire un état des lieux de l’existant et des besoins, ainsi que d’évaluer si les espaces et moments d’échange et d’expression sont satisfaisants pour le public accueilli et sa famille. Il conviendra d’apprécier :
• si ces instances sont en nombre suffisant et sur les thèmes souhaités,
• si elles se déroulent à des heures et en des lieux propices
• si elles sont suffisamment planifiées et formalisées pour permettre que les adultes les repèrent,
• si la forme qu’elles prennent, en collectif comme en individuel, sont de nature à favoriser la parole de chacun
L’évocation de ces questions avec tous les professionnels de l’association permettra de consolider une culture commune de l’écoute auprès des usagers et de concevoir de nouveaux modes d’échange à mettre en place avec ces derniers.
Une gestion des ressources humaines favorisant les postures professionnelles d’attention et d’écoute
Une invariabilité et trop grande durée de l’accompagnement d’un usager pourrait être source tant d’une stimulation moindre pour la personne accompagnée, que d’une usure pour le professionnel pouvant se traduire par un déficit d’écoute, une moins grande réceptivité aux signes manifestés par l’adulte handicapé.
Afin de maintenir en éveil l’attention du professionnel et de favoriser son écoute, l’association met en œuvre les conditions d’une mobilité de ses salariés, lorsqu’elle permet la dynamique des services, dans le respect des ancrages affectifs de l’usager.
Dans ce même objectif de soutenir le professionnel dans sa vigilance au quotidien, l’association favorise l’accueil de stagiaires au sein des équipes (cf. enjeu 2).
POURSUIVRE ET DEVELOPPER L’OUVERTURE DE L’ASSOCIATION A
L’ENVIRONNEMENT LOCAL ET PARTENARIAL
• Développer la communication (site internet, plaquettes, presse locale)
• S’inscrire dans des dispositifs et institutions locaux (associations, institutions partenaires)
• Organiser des portes ouvertes
• Accueillir des stagiaires en cours de formation (tout au long de l’année, sur des périodes significatives en fonction du lieu d’accueil, dans le respect de l’intimité des usagers.)
• Favoriser les mutualisations et projets communs: de chantiers par l’ESAT, réponses communes à appel d’offres, d’outils informatiques
• Organiser des invitations réciproques entre établissements, afin de permettre aux usagers de bénéficier d’activités et de prestations variées, découvrir de nouveaux environnements, accueillir
• Représenter l’association à l’extérieur, par l’intervention de salariés sur des dispositifs de formation, participation à des réunions institutionnelles (MDPH, Ardicath, …)
• Former en continu les salariés
• Elargir le Conseil d’Administration
L’association soutient l’ouverture de ses structures à différents niveaux :
Au niveau institutionnel
Il parait important que l’association soit identifiée par d’autres institutions et partenaires. Aussi l’effort de participation aux instances locales tel qu’il a été initié depuis quelques années doit être soutenu et encouragé.
Par ailleurs, la représentation de l’Association lors des réunions institutionnelles, au sein de groupes collaboratifs… est également souhaitée afin de lui donner une place d’acteur sur la scène partenariale (AMS, « Soigner ensemble dans le Bessin et le pré-Bocage »…).
Egalement, l’élargissement du Conseil d’Administration est envisagé afin d’apporter une nouvelle dynamique et de nouvelles compétences au sein de l’association. Les modalités de ce projet seront proposées dans le paragraphe relatif à la dynamique associative.
Enfin, le recours à la mutualisation de services, de prestations, de moyens humains… s’est initié, notamment concernant les chantiers d’ESAT et dans des réponses à appel à projet. Son développement offrira à l’association une réactivité et une efficience plus grande.
Au niveau du personnel
Des échanges réguliers avec l’extérieur un est facteur d’enrichissement des pratiques professionnelles, de dynamisme au sein des équipes, et de transparence.
Aussi l’association soutient l’initiative de ceux de ses professionnels qui interviennent dans des dispositifs de formation ou au sein d’institutions (MDPH, DRJSCS, Différents et Compétents…).
Elle encourage par ailleurs ses salariés à se former tout au long de leur vie professionnelle, notamment à travers des formations se tenant à l’extérieur de la structure et avec des professionnels d’autres horizons.
Enfin, l’accueil de stagiaires est identifié comme étant une source d’échanges, de réflexions sur le sens des positionnements professionnels, et un moyen de faire connaitre les savoir-faire de l’association. Les professionnels sont dès lors incités à mettre en œuvre les meilleures conditions d’accueil pour les recevoir et rendre leur stage riche et pertinent. Toutefois, la réserve à ce principe est que l’accueil du stagiaire ne soit pas source de trouble ou de perturbation pour l’usager, ni qu’il attente au respect de son intimité ou de sa vie privée.
Au niveau des usagers
Ceux-ci sont amenés à participer à l’accueil de stagiaires en partageant avec eux leur quotidien sur les différents services. De plus, les usagers ont la possibilité d’inviter les personnes de leur choix (sous réserve du respect du projet de service).
A leur demande ou sur proposition des professionnels, les adultes peuvent également découvrir d’autres lieux de vie ou de travail, en cohérence avec leur projet individualisé.
Cette ouverture de l’association par le biais de ses usagers est une véritable source de découverte et de tissage de liens sociaux, qui doit être développée dans l’intérêt de ceux-ci.
Au grand public
La connaissance de l’association et l’identification de ses missions requiert le développement de sa communication extérieure.
Entre autre, la mise en service d’un site internet est désormais incontournable pour mieux communiquer.
De plus, l’élaboration de plaquettes de présentation des différents services, actuellement lancée, permettra à terme de présenter de façon pédagogique et exhaustive les différentes prestations et activités de l’association.
Le recours à la presse locale et régionale pour couvrir les événements organisés par l’association sera support à une meilleure connaissance de ses activités et services.
Enfin, l’organisation régulière de « portes ouvertes » contribuera à une découverte plus approfondie de l’association.
• S’inscrire dans des dispositifs et institutions locaux (associations, institutions partenaires)
• Organiser des portes ouvertes
• Accueillir des stagiaires en cours de formation (tout au long de l’année, sur des périodes significatives en fonction du lieu d’accueil, dans le respect de l’intimité des usagers.)
• Favoriser les mutualisations et projets communs: de chantiers par l’ESAT, réponses communes à appel d’offres, d’outils informatiques
• Organiser des invitations réciproques entre établissements, afin de permettre aux usagers de bénéficier d’activités et de prestations variées, découvrir de nouveaux environnements, accueillir
• Représenter l’association à l’extérieur, par l’intervention de salariés sur des dispositifs de formation, participation à des réunions institutionnelles (MDPH, Ardicath, …)
• Former en continu les salariés
• Elargir le Conseil d’Administration
L’association soutient l’ouverture de ses structures à différents niveaux :
Au niveau institutionnel
Il parait important que l’association soit identifiée par d’autres institutions et partenaires. Aussi l’effort de participation aux instances locales tel qu’il a été initié depuis quelques années doit être soutenu et encouragé.
Par ailleurs, la représentation de l’Association lors des réunions institutionnelles, au sein de groupes collaboratifs… est également souhaitée afin de lui donner une place d’acteur sur la scène partenariale (AMS, « Soigner ensemble dans le Bessin et le pré-Bocage »…).
Egalement, l’élargissement du Conseil d’Administration est envisagé afin d’apporter une nouvelle dynamique et de nouvelles compétences au sein de l’association. Les modalités de ce projet seront proposées dans le paragraphe relatif à la dynamique associative.
Enfin, le recours à la mutualisation de services, de prestations, de moyens humains… s’est initié, notamment concernant les chantiers d’ESAT et dans des réponses à appel à projet. Son développement offrira à l’association une réactivité et une efficience plus grande.
Au niveau du personnel
Des échanges réguliers avec l’extérieur un est facteur d’enrichissement des pratiques professionnelles, de dynamisme au sein des équipes, et de transparence.
Aussi l’association soutient l’initiative de ceux de ses professionnels qui interviennent dans des dispositifs de formation ou au sein d’institutions (MDPH, DRJSCS, Différents et Compétents…).
Elle encourage par ailleurs ses salariés à se former tout au long de leur vie professionnelle, notamment à travers des formations se tenant à l’extérieur de la structure et avec des professionnels d’autres horizons.
Enfin, l’accueil de stagiaires est identifié comme étant une source d’échanges, de réflexions sur le sens des positionnements professionnels, et un moyen de faire connaitre les savoir-faire de l’association. Les professionnels sont dès lors incités à mettre en œuvre les meilleures conditions d’accueil pour les recevoir et rendre leur stage riche et pertinent. Toutefois, la réserve à ce principe est que l’accueil du stagiaire ne soit pas source de trouble ou de perturbation pour l’usager, ni qu’il attente au respect de son intimité ou de sa vie privée.
Au niveau des usagers
Ceux-ci sont amenés à participer à l’accueil de stagiaires en partageant avec eux leur quotidien sur les différents services. De plus, les usagers ont la possibilité d’inviter les personnes de leur choix (sous réserve du respect du projet de service).
A leur demande ou sur proposition des professionnels, les adultes peuvent également découvrir d’autres lieux de vie ou de travail, en cohérence avec leur projet individualisé.
Cette ouverture de l’association par le biais de ses usagers est une véritable source de découverte et de tissage de liens sociaux, qui doit être développée dans l’intérêt de ceux-ci.
Au grand public
La connaissance de l’association et l’identification de ses missions requiert le développement de sa communication extérieure.
Entre autre, la mise en service d’un site internet est désormais incontournable pour mieux communiquer.
De plus, l’élaboration de plaquettes de présentation des différents services, actuellement lancée, permettra à terme de présenter de façon pédagogique et exhaustive les différentes prestations et activités de l’association.
Le recours à la presse locale et régionale pour couvrir les événements organisés par l’association sera support à une meilleure connaissance de ses activités et services.
Enfin, l’organisation régulière de « portes ouvertes » contribuera à une découverte plus approfondie de l’association.
PROMOUVOIR LA PLACE, LA PAROLE ET LES COMPETENCES
DES PERSONNES HANDICAPEES
L’augmentation de l’espérance de vie des personnes handicapées modifie le profil des publics jusque-là accueillis. Les institutions doivent faire le constat des besoins nouveaux et spécifiques des personnes handicapées âgées, et de l’inadéquation des dispositifs tels qu’ils sont actuellement pensés, pour trouver des aménagements et des solutions nouvelles aux usagers.
En effet, la personne handicapée atteignant l’âge de la retraite se trouve confrontée à des situations inédites, que ce soit de travail ou de vie : fatigabilité plus importante, temps de travail ou d’activités à aménager, outils devenus inadaptés au regard des conséquences du vieillissement cumulées à ses pathologies déjà existantes.
Dans ces différentes situations, la personne peut être confrontée à un isolement social accentuant sa vulnérabilité:
- par des besoins d’accompagnement devenus plus importants et différents,
- parce que les liens sociaux -déjà rares- se sont amenuisés avec la montée en âge, la disparition des proches.
La baisse des ressources constitue une autre difficulté à laquelle l’usager doit être préparé.
Enfin, l’adulte se trouve dans une incertitude face à l’avenir : l’insuffisance de relais adapté à sa situation rend difficile la formulation d’un projet de vie après sa cessation d’activités.
De plus, une fois en retraite ou en cessation d’activité :
• Pour un adulte accueilli en foyer d’hébergement (éclaté ou non), si la cessation d’activité ne lui permet plus de remplir les conditions de la prise en charge institutionnelle pour occuper une chambre, le problème de l’hébergement et du suivi éducatif de la personne se pose donc à l’Association. Celle-ci affirme sa volonté - dans la limite de ses moyens- d’accompagner les usagers au plus près de leur projet de vie.
• Le peu de structures de type EHPAD adaptées à nos usagers, ainsi que le manque de partenaires relais dans l’accompagnement de ces publics vieillissants, rendent difficile l’évolution de leur parcours. Les foyers occupationnels pour adulte (FOA) n’étant pas soumis à une limitation d’âge, risquent donc de voir leurs missions dénaturées.
En effet, la personne handicapée atteignant l’âge de la retraite se trouve confrontée à des situations inédites, que ce soit de travail ou de vie : fatigabilité plus importante, temps de travail ou d’activités à aménager, outils devenus inadaptés au regard des conséquences du vieillissement cumulées à ses pathologies déjà existantes.
Dans ces différentes situations, la personne peut être confrontée à un isolement social accentuant sa vulnérabilité:
- par des besoins d’accompagnement devenus plus importants et différents,
- parce que les liens sociaux -déjà rares- se sont amenuisés avec la montée en âge, la disparition des proches.
La baisse des ressources constitue une autre difficulté à laquelle l’usager doit être préparé.
Enfin, l’adulte se trouve dans une incertitude face à l’avenir : l’insuffisance de relais adapté à sa situation rend difficile la formulation d’un projet de vie après sa cessation d’activités.
De plus, une fois en retraite ou en cessation d’activité :
• Pour un adulte accueilli en foyer d’hébergement (éclaté ou non), si la cessation d’activité ne lui permet plus de remplir les conditions de la prise en charge institutionnelle pour occuper une chambre, le problème de l’hébergement et du suivi éducatif de la personne se pose donc à l’Association. Celle-ci affirme sa volonté - dans la limite de ses moyens- d’accompagner les usagers au plus près de leur projet de vie.
• Le peu de structures de type EHPAD adaptées à nos usagers, ainsi que le manque de partenaires relais dans l’accompagnement de ces publics vieillissants, rendent difficile l’évolution de leur parcours. Les foyers occupationnels pour adulte (FOA) n’étant pas soumis à une limitation d’âge, risquent donc de voir leurs missions dénaturées.
MIEUX PRENDRE EN COMPTE LA PROBLEMATIQUE DU VIEILLISSEMENT
DE LA POPULATION
L’Association se doit dès lors de prendre des orientations :
Favoriser la participation aux formations
Afin de poursuivre au mieux l’accompagnement des adultes vieillissants dans leur quotidien, l’Association préconise la participation de ses salariés à des formations. Elles leur permettront de mieux identifier les signes de la perte de motivation et d’autonomie, de continuer à s’inscrire dans la bientraitance, et d’acquérir des outils répondant à ces nouveaux besoins.
Rôle de veille et d’information aux financeurs
La Commission Vieillissement sera réactivée. Elle est composée de salariés et d’administrateurs de l’Association, ainsi que ponctuellement de toute personne compétente pouvant apporter expertise et conseil pour traiter l’ordre du jour de la Commission.
A partir de la synthèse des données chiffrées, des observations émises par les professionnels de terrain, des avis des usagers et des familles (par l’intermédiaire du Conseil de la Vie Sociale, des enquêtes de satisfaction, des évaluations interne et externe…), la Commission fait des constats, en informe les organismes gestionnaires et émet des préconisations.
Développer les partenariats
Une connaissance mutuelle sera favorisée entre les services de l’Association et les structures d’accompagnement de la personne âgée : services sociaux, EHPAD, FOA pour les personnes handicapées vieillissantes, services de familles d’accueil, services de maintien et d’aide à domicile…
Cette meilleure connaissance sera de nature à développer les coopérations, les mutualisations, voire la création de structures nouvelles.
Favoriser le maintien de la personne dans son lieu de vie
Lorsque l’usager ne remplit plus les conditions pour occuper une place en foyer d’hébergement, au titre des conditions fixées par le Conseil Général, l’Association mettra tout en œuvre pour trouver une solution adaptée à sa situation, en s’appuyant sur un réseau de partenaires. Dans l’attente, l’Association, dans la limite de ses moyens, cherchera à maintenir la personne dans son logement.
Favoriser la participation aux formations
Afin de poursuivre au mieux l’accompagnement des adultes vieillissants dans leur quotidien, l’Association préconise la participation de ses salariés à des formations. Elles leur permettront de mieux identifier les signes de la perte de motivation et d’autonomie, de continuer à s’inscrire dans la bientraitance, et d’acquérir des outils répondant à ces nouveaux besoins.
Rôle de veille et d’information aux financeurs
La Commission Vieillissement sera réactivée. Elle est composée de salariés et d’administrateurs de l’Association, ainsi que ponctuellement de toute personne compétente pouvant apporter expertise et conseil pour traiter l’ordre du jour de la Commission.
A partir de la synthèse des données chiffrées, des observations émises par les professionnels de terrain, des avis des usagers et des familles (par l’intermédiaire du Conseil de la Vie Sociale, des enquêtes de satisfaction, des évaluations interne et externe…), la Commission fait des constats, en informe les organismes gestionnaires et émet des préconisations.
Développer les partenariats
Une connaissance mutuelle sera favorisée entre les services de l’Association et les structures d’accompagnement de la personne âgée : services sociaux, EHPAD, FOA pour les personnes handicapées vieillissantes, services de familles d’accueil, services de maintien et d’aide à domicile…
Cette meilleure connaissance sera de nature à développer les coopérations, les mutualisations, voire la création de structures nouvelles.
Favoriser le maintien de la personne dans son lieu de vie
Lorsque l’usager ne remplit plus les conditions pour occuper une place en foyer d’hébergement, au titre des conditions fixées par le Conseil Général, l’Association mettra tout en œuvre pour trouver une solution adaptée à sa situation, en s’appuyant sur un réseau de partenaires. Dans l’attente, l’Association, dans la limite de ses moyens, cherchera à maintenir la personne dans son logement.
Face à ces constats, les équipes de l’association doivent composer avec des locaux parfois devenus inadaptés à ces publics. Elles se trouvent contraintes d’ajuster les accompagnements des adultes vieillissants, tout en maintenant une cohérence entre le projet de service et les projets individualisés des usagers. Elles doivent apprendre à percevoir les signes du vieillissement, à déceler l’épuisement, à faire face à un besoin d’encadrement auprès de personnes lorsqu’elles sont seules à leur domicile, car cessant progressivement ou complètement leur activité.
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REALISER UN TRAVAIL SUR LA GOUVERNANCE ASSOCIATIVE
Forte de son histoire et de ses valeurs, l’Association « Les Compagnons » s’inscrit dans l’évolution de la société, des politiques publiques, et bien sûr des besoins et du bien-être des usagers qu’elle accompagne.
Aussi souhaite-t-elle engager un travail sur la modernisation de sa gouvernance.
Renouvellement et/ou élargissement du Conseil d’Administration
La force d’implication de l’Association et son dynamisme se trouveront renforcées par l’intégration de nouveaux membres.
Par ailleurs, l’évolution de l’environnement institutionnel et du contexte économique et social requiert des connaissances de plus en plus spécialisées. L’ouverture du Conseil d’Administration à des personnes ayant une expertise à mettre à son service contribuera à étendre ses compétences.
Accompagnement de l’Administrateur dans son rôle et sa connaissance de l’association
Afin d’aider l’administrateur dans son rôle, l’Association facilitera son accès à la formation, tant sur des connaissances générales sur la fonction d’administrateur, que sur des thématiques particulières.
De même, les administrateurs seront invités à se déplacer sur les différents sites , dans l’objectif de leur permettre de mieux appréhender les réalités quotidiennes des équipes et des usagers.
Modalités de travail du Conseil d’Administration
Afin de dynamiser ses instances, le Conseil d’Administration souhaite engager une réflexion sur ses modalités de fonctionnement.
D’une part, afin d’homogénéiser les connaissances des administrateurs et faciliter leurs positionnements, les séances du Conseil d’Administration pourront intégrer un thème en lien avec l’actualité et l’activité de l’Association.
En tant que de besoin, une commission thématique sera constituée pour éclairer les décisions du Conseil.
Enfin, des « administrateurs délégués » seront référents d’un établissement ou service. Leur rôle sera de suivre plus particulièrement une entité de l’Association, ses équipes, usagers et familles, dans ses activités et ses projets…, et diffuser ces connaissances aux membres du Conseil.
Optimisation de la communication du Conseil d’Administration
La communication est identifiée comme un outil nécessaire pour inciter à l’implication dans la vie de l’Association.
Un travail doit être suggéré aux membres, afin que les informations relatives à l’ordre du jour du Conseil d’Administration soient systématiquement diffusées avant sa tenue et permettre ainsi à chacun de mieux participer à la réflexion.
Par ailleurs, après la tenue de réunions, il sera important d’apporter un soin particulier au compte rendu des décisions et orientations prises, pour assurer une lisibilité de l’action de l’Association et une participation de tous à ses évolutions.
Articulation avec l’équipe de direction
Le Document Unique de Délégation devra faire l’objet d‘une réécriture afin d’intégrer les modifications précitées.
Aussi souhaite-t-elle engager un travail sur la modernisation de sa gouvernance.
Renouvellement et/ou élargissement du Conseil d’Administration
La force d’implication de l’Association et son dynamisme se trouveront renforcées par l’intégration de nouveaux membres.
Par ailleurs, l’évolution de l’environnement institutionnel et du contexte économique et social requiert des connaissances de plus en plus spécialisées. L’ouverture du Conseil d’Administration à des personnes ayant une expertise à mettre à son service contribuera à étendre ses compétences.
Accompagnement de l’Administrateur dans son rôle et sa connaissance de l’association
Afin d’aider l’administrateur dans son rôle, l’Association facilitera son accès à la formation, tant sur des connaissances générales sur la fonction d’administrateur, que sur des thématiques particulières.
De même, les administrateurs seront invités à se déplacer sur les différents sites , dans l’objectif de leur permettre de mieux appréhender les réalités quotidiennes des équipes et des usagers.
Modalités de travail du Conseil d’Administration
Afin de dynamiser ses instances, le Conseil d’Administration souhaite engager une réflexion sur ses modalités de fonctionnement.
D’une part, afin d’homogénéiser les connaissances des administrateurs et faciliter leurs positionnements, les séances du Conseil d’Administration pourront intégrer un thème en lien avec l’actualité et l’activité de l’Association.
En tant que de besoin, une commission thématique sera constituée pour éclairer les décisions du Conseil.
Enfin, des « administrateurs délégués » seront référents d’un établissement ou service. Leur rôle sera de suivre plus particulièrement une entité de l’Association, ses équipes, usagers et familles, dans ses activités et ses projets…, et diffuser ces connaissances aux membres du Conseil.
Optimisation de la communication du Conseil d’Administration
La communication est identifiée comme un outil nécessaire pour inciter à l’implication dans la vie de l’Association.
Un travail doit être suggéré aux membres, afin que les informations relatives à l’ordre du jour du Conseil d’Administration soient systématiquement diffusées avant sa tenue et permettre ainsi à chacun de mieux participer à la réflexion.
Par ailleurs, après la tenue de réunions, il sera important d’apporter un soin particulier au compte rendu des décisions et orientations prises, pour assurer une lisibilité de l’action de l’Association et une participation de tous à ses évolutions.
Articulation avec l’équipe de direction
Le Document Unique de Délégation devra faire l’objet d‘une réécriture afin d’intégrer les modifications précitées.
L’importance que l’association porte à la qualification de ses salariés est réaffirmée.
• Poursuite de recrutements de professionnels qualifiés et maintien des niveaux de qualification existants nécessaires à un accompagnement de qualité
• Actions de formations à destination des salariés
L’Association préconise la participation de ses salariés à des formations. Elles leur permettront de mieux identifier les besoins liés au handicap, de continuer à s’inscrire dans la bientraitance, et d’acquérir des outils répondant à ces besoins.
• Echanges de pratiques et d’expériences avec d’autres partenaires
L’Association favorisera, dans la limite de ses possibilités, des espaces d’analyse et d’échanges, afin de permettre aux salariés de renforcer leur positionnement professionnel et d’améliorer leurs pratiques.
Par ailleurs, des échanges seront encouragés avec des institutions partenaires, pour permettre aux salariés de découvrir d’autres modes organisationnels, d’autres méthodes et outils de travail, d’autres approches de l’usager et de son handicap.
• Poursuite de recrutements de professionnels qualifiés et maintien des niveaux de qualification existants nécessaires à un accompagnement de qualité
• Actions de formations à destination des salariés
L’Association préconise la participation de ses salariés à des formations. Elles leur permettront de mieux identifier les besoins liés au handicap, de continuer à s’inscrire dans la bientraitance, et d’acquérir des outils répondant à ces besoins.
• Echanges de pratiques et d’expériences avec d’autres partenaires
L’Association favorisera, dans la limite de ses possibilités, des espaces d’analyse et d’échanges, afin de permettre aux salariés de renforcer leur positionnement professionnel et d’améliorer leurs pratiques.
Par ailleurs, des échanges seront encouragés avec des institutions partenaires, pour permettre aux salariés de découvrir d’autres modes organisationnels, d’autres méthodes et outils de travail, d’autres approches de l’usager et de son handicap.
POURSUIVRE LA PROFESSIONNALISATION DES SALARIES
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